Les pays anglo-saxons ont une vision optimiste de l’échec entrepreneurial. La culture anglo-saxonne considère que si on échoue dans son projet, ce n’est pas grave ; l’expérience acquise est un véritable atout pour repartir de plus belle. La France, pays de culture latine, est encore trop orientée « problème ».
C’est un état d’esprit qui, heureusement, est en train de changer : les nouvelles générations qui arrivent dans les entreprises parlent anglais couramment et savent s’informer sur les différentes façons, selon les pays, de manager et d’entreprendre. Voir ce qu’il se passe ailleurs leur donne envie d’innover, de se lancer, de devenir leur propre patron. C’est tout un changement de culture, voire-même une révolution qui s’opère dans le monde de l’entreprise et cela passe forcément par une nouvelle façon de considérer le statut de salarié que la majorité de Millénials juge dépassé, rigide et rédhibitoire.
De plus, l’arrivée du télétravail a accentué le phénomène.
Ils jugent aujourd’hui qu’il est inutile de bloquer des équipes plusieurs heures par jour dans les transports ou les embouteillages alors que, pour la plupart, les Millénials se révèlent aussi productifs et efficaces chez eux.
Le Portage salarial, statut encore méconnu de cette génération, offre une réelle opportunité de tester et mesurer la validité d’un projet entrepreneurial.
Pour peu que la société de Portage soit à taille humaine, elle permet d’apporter un véritable accompagnement personnalisé à l’entrepreneur en lui garantissant souplesse, adaptabilité et une forme de sécurité précieuse lorsque l’on se lance.
C’est aussi, pour l’entreprise qui a des difficultés à fidéliser ses jeunes talents, une solution qui peut lui permettre de les gérer différemment, de mettre en place un travail collaboratif lié à des missions précises, à contrario d’une hiérarchie verticale qui ne correspond plus à leurs aspirations.
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