Nous avons tous eu, à un moment ou à un autre, dans notre parcours professionnel, l’envie d’entreprendre, de créer notre société, d’y développer une idée, un produit, une activité. Au-delà du plaisir que l’on ressent à la mise en route de son projet, assez rapidement peuvent surgir des peurs susceptibles, selon les personnalités, de se transformer en angoisses.
L’angoisse des risques financiers
Pour celui qui a toujours vécu l’entièreté de son parcours professionnel en salarié, entreprendre va représenter pour lui un moment difficile, avec la sensation parfois de « se jeter dans le vide ». Car entreprendre implique souvent en premier lieu une diminution de ses revenus, même si parfois selon la façon dont on se lance, les indemnités chômage permettent d’assurer le quotidien.
Dans ce cas de la peur des risques financiers et de perte de sécurité, le Portage salarial peut aider : bien qu’il faille quand même trouver un minimum de missions à facturer, le fait de garder son statut de salarié permet d’atténuer les risques : en cas d’échec de son projet, on peut percevoir des indemnités chômage.
Le stress des formalités administratives et juridiques
Si l’administratif n’est pas votre fort, et vous génère du stress au point que vous ayez du mal à vous y plonger, sachez que vous ne pourrez pas y échapper. En tant que chef d’entreprise, vous avez l’obligation de vous y soumettre. C’est parfois d’ailleurs, un aspect consciemment ou inconsciemment négligé à l’initiation du projet. Sachez que choisir de créer une EURL, une SARL, rédiger une proposition, un devis ou un contrat, voire relancer un client qui ne paie pas, sont déjà des actions liées à l’administratif et au juridique.
Le Portage salarial libère totalement l’entrepreneur de ses phobies administratives et financières : c’est une excellente chose pour tester son projet, le lancer, tout en étant bien accompagné. Non seulement, selon la société de Portage salarial -toutes n’en ont pas les capacités ou la volonté-, celle-ci sera à même de prendre en charge la totalité des tâches administratives et juridiques, mais une fois qu’elle vous connaitra bien et connaitra bien également la nature de votre projet, elle sera à même de vous conseiller sur son évolution ; voire sur le moment où il sera plus intéressant pour vous de quitter le Portage salarial pour créer votre entreprise.
La peur d’embaucher
Ca y est, vous vous êtes lancé : vous avez créé votre SASU… Tout entrepreneur y est confronté : il lui faut à un moment ou à un autre recruter des compétences particulières. Seulement voilà, on ne sait pas forcément pour quelle durée. Hormis l’aspect purement financier, les responsabilités, les obligations, les frais que nécessitent immédiatement l’embauche sont sources de stress pour l’entrepreneur.
Le Portage salarial peut être d’une aide efficace. En effet, il est fréquent, au démarrage d’une société que vous n’ayez pas besoin de ce collaborateur de façon continue. Vous avez souvent besoin d’une expertise, d’une compétence particulière pour une durée à définir.
Un soutien intéressant, dans ce cas, peut être apporté par le Portage salarial :
La société de Portage salarial prendra en charge l’intervenant et la totalité des tâches administratives liées à ses interventions. L’entrepreneur n’a plus aucune démarche administrative à effectuer puisque c’est la société de Portage salarial qui s’occupe de tout. C’est même elle qui peut rédiger, en étroite collaboration avec le futur porté et l’entrepreneur, le contrat de prestation qu’ils devront signer. Pour l’entrepreneur, aucune cotisation sociale n’est à régler directement, aucune déclaration particulière n’est à effectuer, aucune fiche de paie n’est à établir : il règle simplement en fin de mois les honoraires liés au contrat établi.
Le Portage salarial permet ainsi à l’entrepreneur d’adapter ses besoins en compétences en fonction de la réussite de son projet… Et d’envisager sereinement l’embauche de salariés le moment venu.
Vous être entrepreneur ou futur entrepreneur et vous souhaitez en savoir plus sur le Portage salarial ? Contactez-moi.
